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Suppléments

  • L’art de l’autopromotion

    Dans des billets précédents, nous parlions de la tendance à l’autoproduction (le do it yourself). Nous plaidions que cette formule permettait d’éviter de payer des intermédiaires dont la valeur ajoutée pouvait être discutée. Parallèlement, nous admettions les limites de cette formule alors que l’on peut exceller sur toutes les facettes d’un projet de comicbook.

    Todd Allen  stipule qu’une qualité majeure dans l’autoproduction est …l’autopromotion. « It depends a little on what your profile is and how good a person is at promoting themselves » («C2E2: Digital Comics: The Next Page», www.comicsbeat.com, April 29, 2014). Cet exercice n’est pas aussi simple à résoudre. Mark Waid qui est impliqué dans le projet Thrillbent, une plate-forme de diffusion de webcomics fait le constat suivant :

    « There are four factors to selling anything: content, distribution, publicity, and marketing. We are great at content; we are good at distribution. Because of the limited amount of time in the day, however, marketing and publicity is where we fall down.  That’s no fault of the people at Thrillbent behind the scenes; that’s on me – I don’t have as much time as I’d like to pound the drum and get people to swarm to our site. » (« Interview: Mark Waid on the Inner Demons of Daredevil, Attitude Adjustment for the Hulk, and the Thrill of Digital Comics », www.comicsbeat.com, February 10, 2014).

    Nous ne cherchons pas d’excuses, mais si l’effort de promotion présente ses limites pour un artiste établi comme Mark Waid, il devient un enjeu majeur pour le commun des mortels.

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  • Notre héros peut-il être amoureux?

    Slimybug dans son analyse de la trilogie Dark Knight de Christopher Nolan arrive à cette conclusion: « Many superhero films, including the first two films in this series, are about facing responsibility and obligations to others. The Dark Knight Rises is unique as a film in that it is about hero needing to love himself. » (Slimybug, « The Themes And Meanings Of THE DARK KNIGHT Trilogy », www.comicbookmovie.com, January 14, 2014).

    Pour Chris Sims, il peut s’agir d’un pari risqué d’un point de vue narratif : « But the thing is, as much as they don’t work from a romantic perspective, which is the nature of dramatic tension, they don’t really work from a storytelling perspective, either. » Et ces amoureuses seront pratiquement toujours des personnages de soutien au service du héros, sans reelle existence (Chris Sims « Ask Chris #212: The Many Loves Of Batman », www.comicsalliance.com, September 12, 2014).

    Dans ces circonstances, tout l’équilibre de la rédaction est de donner une existence propre à la maîtresse sans que son rôle ne se limite à devenir la demoiselle en détresse ou l’agneau sacrifié. Ce piège peut être évité dans un film de deux heures, mais il devient plus difficile à réaliser dans une série de longue durée.

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  • Mais qu’est-ce qu’il dit? Contre-offensive (partie II)

    Il y a de nombreux dialogues en espagnol dans cette aventure. Nous n’allons pas tous les traduire, il faut tout de même conserver la magie de l’aventure. Mais en voici un passage qui est essentiel.

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  • D’où vient ce personnage? L’exemple de Jacobs

    Nous aimons acheminer à nos collaborateurs des photographies des lieux ou des personnages afin qu’ils aient une base sur laquelle développer leurs illustrations. Ainsi, Jacobs est très librement inspiré du rôle de tueur mystérieux interprété par max Von Sydow dans le film Three Days of the Condor.

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  • Mais qu’est ce qu’il dit? Contre-offensive

    Il y a des dialogues en espagnol dans cette aventure. Nous n’allons pas tous les traduire, il faut tout de même conserver la magie de l’aventure. Mais en voici un passage qui est essentiel.

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