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Réponse aux questions

On reconnaît la source de nos inspirations

Dans l’aventure « les freaks », nous voyons que Volcanne a conçu un nouveau monstre pour attaquer ses ennemies. Lors d’un salon du livre, certains lecteurs ont reconnu la source d’inspiration de ce monstre. Il s’agit d’un Tardigrada (tardigdrades). Nous avons été réellement surpris que des lecteurs puissent faire la connexion.

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Mais vos histoires parlent de quoi au fait?

Dans la recherche de collaborateurs pour notre projet, une personne rencontrée, nous demandait de résumer le propos de notre histoire en 25 mots. Sur le coup, nous trouvâmes la question très réductrice; il nous semblait contre-productif de résumer notre récit en si peu de mots. Par ailleurs, comme c’est le genre de petits discours qu’apprécient plein de gens, nous avons jonglé pendant un certain temps avec cette idée. Nous dirions donc que notre histoire traite de gens qui essaient de réaliser leurs rêves et de survivre à ceux des autres. Et nous écrivons tout cela en 20 mots.

Y a-t-il juste des méchants dans vos histoires?

Nous discutions avec une amie qui nous indiquait que nos histoires ne contenaient que deux catégories de personnages : « des méchants » et des « moins méchants ». La remarque nous a bien fait rire, car elle rejoint un dogme que nous avons maintes fois prêché selon lequel nous voulons jouer sur un continuum de gris pour ce qui est de la personnalité de nos personnages. Et qui dit gris, dit nécessairement des traits sombres.

Comment se fait-il que Volcanne ne soit pas vraiment mort?

Certains d’entre vous nous ont judicieusement demandé comment il se faisait que Volcanne ne soit pas mort. Après tout, nous avions affirmé que, parmi nos dogmes, un mort était un mort. D’abord, les principes sont nécessairement faits pour être violés, ensuite, Volcanne est le maître de la génétique, il est donc tout naturel qu’il ait prévu des clones pour assurer la pérennité de son existence.

Mais est-ce que tous les personnages vont mourir?

Un lecteur nous demande si tous les personnages principaux de notre récit sont destinés à mourir. La réponse est naturellement non, mais il faut toutefois bien comprendre le contexte de nos récits. Deux organisations secrètes s’affrontent brutalement, chacune d’elles prend donc les moyens nécessaires pour réussir à battre l’autre. Il serait anormal qu’il n’y ait aucun décès, et ce, même du côté des « héros ».

Voulons-nous jouer avec les flashbacks?

Un de nos lecteurs revient sur le lien qu’il existe entre la mort de Wally et le récit de son arrivée à l’Enceinte et nous demande si nous voulons imiter la série télé Lost, pour laquelle nous avons déjà exprimé notre admiration, par l’utilisation de flashbacks? Il s’agit d’une bonne question. Nous voyons une énorme différence entre notre trame temporelle et les flashbacks utilisés par les scénaristes de la série télé. Alors que, dans le second cas, le flashback sert principalement à nourrir un épisode, pour notre part, il est utilisé pour faire de nos différents récits une mosaïque dont nous espérons présenter toute l’étendue. Naturellement, pour préserver quelques zones de mystère à notre histoire, le moment de la diffusion des différents récits n’est pas révélé.

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