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Suppléments

  • Alan Moore

    Citer Alan Moore comme étant une influence est un cliché dans le domaine de la bande dessinée, car cet homme a laissé une emprunte visible sur la narration du comicbook. Nous avouons cependant ne pas avoir lu ses classiques : Watchmen et « V For Vendetta ». Cependant, nous avons lu les neuf premiers numéros de sa série Miracleman qui ont eu un réel impact sur la construction de nos récits. Nous pourrions discourir longuement sur le sujet, mais nous préférons reproduire ce court extrait de la critique des premiers numéros en français de cette série que le lecteur peut retrouver sur le site www.sceneario.com : « Moore adopte une écriture tout en finesse, jouant avec les monologues, les pensées, les voix off, etc., il emmène le lecteur vers un univers très réaliste, noir et désenchanté… Que sont devenus ces héros de notre enfance? »

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  • Portrait de Louis Paradis

    Louis compte plus de 30 ans de métier dans le domaine de la bande dessinée où il a pu toucher à différentes facettes de la création : le dessin proprement dit; l’encrage, où il a développé une spécialité, et l’édition. Il a apporté son expertise à de nombreux éditeurs des deux côtés de l’Atlantique. Ses talents ont été récompensés par des prix dans différents concours canadiens. Son art porte l’emprunte d’une admiration à John Buscema, mais il demeure attaché aux créateurs classiques : Kirby, Hergé, Foster, Uderzo, Morris, Franquin, Windsor-Smith. Il a aussi développé une passion pour la collection de bandes dessinées. Louis se consacre principalement, mais non exclusivement, à la trame « l’Exile. »

  • Portrait de Martin Beaulieu

    Depuis presque toujours, Martin est un lecteur de la série Marvel Comics. Il y a quelques années, il s’est lancé le défi de produire sa propre bande dessinée qui éviterait certains des pièges du comics book américain tout en y combinant son intérêt pour d’autres divertissements grand public (cinéma, séries télé, etc.). Aussi, puisqu’il travaille à HEC Montréal, ce projet devenait un merveilleux laboratoire pour tester certaines de ses réflexions concernant les enjeux de l’entrepreneuriat.

  • Portrait de Maxime Bigras

    Passionné de la bande dessinée, Maxime met son talent à profit en combinant sans heurt le design graphique et l’illustration. Il se plaît à croiser les genres et les moyens : illustrations jeunesse, campagnes de sensibilisation sociale, planches médicales ou scènes futuristes hyperréalistes. Ce parcours éclectique lui a permis de développer une solide expertise en communication visuelle. La participation de Maxime concerne principalement la trame « Les Damnés. »

     

  • On ne parle pas tous français tout de même!

    Au cinéma ou à la télé, il peut être tentant de simplifier le contexte afin d’en faciliter la compréhension à notre auditoire cible. Combien de nazis parlent anglais avec un accent germanique ridicule? Il y a 40 ou 50 ans, le procédé était acceptable, mais aujourd’hui, dans nos sociétés cosmopolites, ce raccourci est un peu grotesque. Il faut voir les méchants Arabes de la série télé 24 discuter en anglais même quand ils sont uniquement entre eux. L’objectif n’est pas de perdre le lecteur, mais d’offrir un peu plus de crédibilité à l’environnement des récits.

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