Suppléments
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Même geste – deux visions
L’idée du sacrifice que nous avons évoqué est intéressante. Lorsqu’il est accompli par le héros, il est associé à un geste chevaleresque, une façon de dénouer une impasse, alors que lorsqu’il l’est par le vilain, il y a un côté « tête brûlée », le geste semble perdre toute noblesse. Souvent, le vilain a ce type de comportement parce qu’il est cerné et n’a plus aucune issue. Une personne saine d’esprit verrait à simplement se rendre, alors comment expliquer un geste aussi radical? Pouvons-nous imaginer que le vilain se sacrifie parce qu’il a toujours vécu en marge des normes de la société et qu’il ne peut concevoir que l’on vienne dicter sa conduite, et cela jusqu’à la fin? Nous ne cherchons pas à embellir le geste, juste à chercher une explication rationnelle à une question qui, dans le fond, n’en a sûrement aucune.
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Le sacrifice des vilains
Plus jeune, il y a des scènes qui nous marquent. Dans le dessin animé Goldorak, à la fin de la première saison, l’un des principaux vilains, Hydargos, se sacrifie dans l’espoir de vaincre son adversaire et pour permettre à son supérieur de quitter le champ de bataille. Nous avons beaucoup aimé ce comportement et l’avons calqué, en quelque sorte, pour celui de Roslo dans le récit « Le sacrifice de soi-même. »
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D’où provient le nom du Consortium?
Le Consortium est fortement inspiré de la « Corporation » qui avait fait son apparition dans Captain America à la fin des années 1970 où un regroupement d’hommes d’affaires poursuit des activités criminelles pour accroître leur richesse et leur influence.
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Christobale a plus d’une apparence
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Une planche exclusive
