Skip to Content

Suppléments

  • Mais vos histoires parlent de quoi au fait?

    Dans la recherche de collaborateurs pour notre projet, une personne rencontrée, nous demandait de résumer le propos de notre histoire en 25 mots. Sur le coup, nous trouvâmes la question très réductrice; il nous semblait contre-productif de résumer notre récit en si peu de mots. Par ailleurs, comme c’est le genre de petits discours qu’apprécient plein de gens, nous avons jonglé pendant un certain temps avec cette idée. Nous dirions donc que notre histoire traite de gens qui essaient de réaliser leurs rêves et de survivre à ceux des autres. Et nous écrivons tout cela en 20 mots.

  • Y a-t-il juste des méchants dans vos histoires?

    Nous discutions avec une amie qui nous indiquait que nos histoires ne contenaient que deux catégories de personnages : « des méchants » et des « moins méchants ». La remarque nous a bien fait rire, car elle rejoint un dogme que nous avons maintes fois prêché selon lequel nous voulons jouer sur un continuum de gris pour ce qui est de la personnalité de nos personnages. Et qui dit gris, dit nécessairement des traits sombres.

  • Commenter une scène : Une haine brûlante

    Nous parlions des différents niveaux de lecture d’une bande dessinée. Il est intéressant de revoir la dernière scène entre le Magnat et Roslo. La simple manipulation du stylo bille par le Magnat envoie un message de menace très fort. Élément qui, nous l’avouons, n’était pas présent dans le scénario initial.

  • La lecture d’une bande dessinée

    Sans vouloir donner un cours de bande dessinée, ce que plusieurs pourraient faire beaucoup mieux que nous, nous estimons qu’il y a trois niveaux de lecture dans une bande dessinée. D’abord, ce que la bulle dit, donc le niveau de lecture le plus primaire, celui qui devrait être le moins ambigu. Ensuite, ce que l’image montre. Et finalement, comment la page est composée : le nombre de cases et leur dimension. Ce dernier point jouera sur le rythme du récit. Lors de la rédaction, il est important de réfléchir à ces trois dimensions afin de donner le plus de force au récit.

  • Portrait de David Therrien

    David Therrien est infographe depuis plus de 10 ans et illustrateur depuis… toujours. Les mangas et les dessins animés japonais sont ses principales passions. Il tire son inspiration des œuvres de Gosciny, de Todd McFarlane, de Akira Toriyama et de Ralph Bakshi.

     À ce jour, il a créé le visuel de plus de 50 sites Web, plus de 30 logos de compagnie ainsi que d’innombrables affiches et publicités imprimées. Il a aussi réalisé des maquillages d’effets spéciaux et tenu les rôles d’aide-réalisateur, producteur et animateur 2D pour quelques courts et longs métrages d’horreur indépendants.

    Actuellement, David travaille sur plusieurs projets personnels, dont une bande dessinée de quelque trente volumes et un long métrage d’animation. Pour le projet « Les Apatrides », il a collaboré à la trame des Damnés.