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Traduction

Mais qu’est-ce qu’il dit? (le bon Samaritain)

Pour savoir vraiment ce qui s’est dit.

 

Mais qu’est-ce qu’il dit? (Tournée)

Pour savoir vraiment ce qui s’est dit.

Mais qu’est-ce qu’il dit? (Baptême du Feu)

Dans le récit « Le Baptême du Feu », l’un des acheteurs ne communique pas en français, mais qu’a-t-il bien voulu dire?

Les subtilitées de la traduction

L’image associée à ce billet compare la même scène, mais en versions française et anglaise. Dans la version française, nous utilisons le « on » afin de créer une ambiguïté dans la conversation. Ce pronom n’ayant pas d’équivalent en anglais, nous avons préféré jouer sur la façon dont aurait été tué Datta.

Perdu dans la traduction

Nous avons déjà mentionné que nous ne souhaitons pas que tous nos protagonistes parlent français où qu’ils se trouvent. Pour respecter ce principe, il est nécessaire d’ajuster le texte. Par exemple, pour l’aventure « Baptême du Feu », nos agents se rendent à Bordeaux. La figure associée à ce billet reprend les deux cases de l’arrivée de nos héros à leur hôtel. En français, le dialogue tourne autour de l’absence de bagages, alors qu’en anglais nous avons conservé une partie du dialogue en français pour faire tourner la conversation autour du fait que Fabien parle français. Une réplique qui n’aurait pas eu de sens dans la version française de notre récit. Voir l’image jointe.

On ne parle pas tous français tout de même!

Au cinéma ou à la télé, il peut être tentant de simplifier le contexte afin d’en faciliter la compréhension à notre auditoire cible. Combien de nazis parlent anglais avec un accent germanique ridicule? Il y a 40 ou 50 ans, le procédé était acceptable, mais aujourd’hui, dans nos sociétés cosmopolites, ce raccourci est un peu grotesque. Il faut voir les méchants Arabes de la série télé 24 discuter en anglais même quand ils sont uniquement entre eux. L’objectif n’est pas de perdre le lecteur, mais d’offrir un peu plus de crédibilité à l’environnement des récits.

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