Suppléments
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L’archivage et les lignes du temps – Partie IV
Si des personnages sont confinés à des lignes du temps bien précises, d’autres sont plutôt des personnages récurant qui se retrouvent dans différentes trames. On peut penser que Markham, Blascovitch, Brookbank et Wood occuperont cette fonction.
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L’archivage et les lignes du temps – Partie III
La trame de l’Exil est centrée autour des destins de Benson et d’Éva. Celle des Damnés tourne principalement autour des expériences des différentes recrues des deux camps d’entraînement avant leur arrivée. Enfin, celle des Vautours explore les personnages de Valasquez, Cordo, Blascovitch et de Markham.
Le corollaire de ces choix est que certains personnages n’apparaissent que dans certaines trames. Ainsi, Fabien, le Rebelle, et tous les personnages associés au Consortium ne sont présents que dans le Cycle des ténèbres. Benson et Éva sont confinés aux trames de l’Exil et du Cycle des ténèbres alors que Valasquez et Cordo voient leur présence se limiter au Cycle des ténèbres et aux Vautours.
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L’archivage et les lignes du temps – Partie II
Le Cycle des ténèbres est la seule trame qui est publiée chronologiquement et qui peut réunir tous nos personnages. Les autres trames (l’Exil, les Damnés et les Vautours) sont centrées sur un groupe de personnages bien précis ayant des récits pouvant évoluer à différentes époques. Un prochain billet expliquera les contraintes.
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Ne pas chercher à cacher ses références
Nous sommes continuellement bombardés de récits (télé, cinéma, journaux, livres, etc.). Inconsciemment ou même de façon parfaitement volontaire, nous empruntons des idées que nous avons vues ailleurs et les insérons dans notre récit. Ainsi, dans l’aventure, « L’épreuve », nous avons repris la scène du tunnel qui se réchauffe et de la grille électrifiée du film Doctor No. Peut-être que plusieurs avaient noté l’emprunt. Nous n’avons pas cherché à le camoufler; c’est pourquoi Jason y fait explicitement référence dans une de ses répliques.
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Vous lisez dans les pensées, vous?
On retrouve sur le Net plusieurs analyses se plaignant que les plus récents comic books se lisent beaucoup plus rapidement que ceux des années 60 ou 70. Faut-il s’en plaindre? Nous ne le croyons pas. Trop souvent, ces récits contenaient trop de texte; les bulles répétaient ce qui était déjà dessiné. Aussi, les bulles de pensées, celles en nuage, devenaient très commodes pour nous expliquer ce qu’il se déroulait, même si cela tuait le suspense. Au cinéma, à l’exception du recours à la voix hors champ, nous accédons aux pensées des personnages par la force de l’image, ce qui peut donner des scènes encore plus fortes, car elles laissent aux spectateurs la liberté de les interpréter. Nous nous sommes donc fixés comme condition supplémentaire d’éviter de redire en mot ce que l’image nous montrait déjà. En ce sens, nous n’entendons pas recourir aux bulles de pensée.
